Grégory Villemin

Trois portraits robots ont été établis à partir des déclarations de trois témoins.

Le 19 Octobre 1984, Marie-Ange LAROCHE appelle la gendarmerie depuis le téléphone public du café Lebedel d'Aumontzey pour dire ses soupçons concernant Jacky VILLEMIN et la famille HOLLARD. On lui répond qu'on ne procède pas comme cela et qu'elle doit se déplacer pour faire une déposition, ce qu'elle fait le jour-même à la gendarmerie de Bruyères, puis de nouveau le 22 Octobre.

Extraits de procès verbaux issus de plusieurs témoignages,  tirés du livre de Serge Garde, Autopsie d'une enquête, et reconstitués à partir de ses récits compilés.

Audition de Bernard LAROCHE le 31 octobre en garde à vue à la gendarmerie de Bruyères

Extrait de PV d'audition de Michel VILLEMIN quelques jours après l'assassinat de Grégory.

Suite à commission rogatoire ordonnée par le juge d'instruction d'Epinal, Jean-Michel LAMBERT, le professeur Gérard de REN et le docteur Elisabeth PAGEL, médecins légistes à Nancy, sont chargés de pratiquer une autopsie sur le corps de Grégory VILLEMIN. Elle sera effectuée le 17 octobre à 16 heures, en présence du juge d’instruction lui-même, ainsi que de deux gendarmes.

A l'heure où les avocats de Murielle Bolle tentent de faire annuler sa mise en examen pour enlèvement, ainsi que sa garde à vue du vendredi 2 novembre 1984 et donc et par là même, de faire annuler "tous les actes qui en sont la conséquence", nous souhaitons faire un rappel des éléments à charge à l'encontre de Murielle BOLLE et de Bernard LAROCHE.

Les grande dates clés de l'affaire Grégory au cours des plus de 30 années d'instruction.

Extrait du procès verbal du 20 juin 1989 de Murielle BOLLE, auditionnée par le Juge Simon.

Extrait de la première déposition de Christine Villemin à la Gendarmerie de Bruyères (88600), le 17 octobre 1984 le lendemain de l'assassinat de son fils.