Grégory Villemin

Appel anonyme du 30 novembre 1982 chez Albert et Monique VILLEMIN. Une partie fut enregistrée

à écrire

Appel anonyme reçu par Albert et Monique VILLEMIN le 15 décembre 1982. Cassette expédiée par Mr Gilbert VILLEMIN en 1993 – Rapport d'expert JONESCO fait le 20 septembre 1993, quelques, jour avant le procès d'assisses de Jean-Marie VILLEMIN, estimant que la voix est identique aux autres enregistrements à savoir la voix d'un d'homme âgé entre 45 et 55 ans.

Extrait de la première déposition de Christine Villemin à la Gendarmerie de Bruyères (88600), le 17 octobre 1984 le lendemain de l'assassinat de son fils.

Les grande dates clés de l'affaire Grégory au cours des plus de 30 années d'instruction.

Arbre généalogique des familles VILLEMIN / BOLLE / JACOB / LAROCHE

Le 16 octobre 1984 à seize heures trente, Grégory Gilbert VILLEMIN, âgé d'un peu plus de quatre ans comme étant né le 24 août 1980 à SAINT-DIE, fils de Jean-Marie VILLEMIN, fut recueilli à sa sortie de l'école maternelle de LEPANGES-sur-VOLOGNE, commune des Vosges où ses parents habitaient, par Madame Christine MATHIEU épouse JACQUOT, demeurant en cette localité, HLM Gais Champs, bâtiment 4 n° 19, qui avait mission de le garder en attendant que sa mère, Christine BLAISE épouse VILLEMIN, alors âgée de vingt-quatre ans, couturière à la Manufacture de Confection Vosgienne, dite MCV, vienne le prendre en charge après son travail. L'enfant était vêtu d'un anorak bleu et d'un pantalon en velours vert foncé et avait la tête nue car le temps était très beau ce jour-là.

Appel anonyme reçu par Jean-Marie Villemin le dimanche 23 mars 1983 vers 10h.

Bernard Laroche est né le 23 mars 1955 de l'union entre son père Marcel LAROCHE et sa mère Thérèse JACOB, soeur de Monique VILLEMIN. Il est le cousin germain de Jean-Marie VILLEMIN, père de Grégory VILLEMIN.

A partir du mois de septembre 1981, Albert VILLEMIN, ouvrier de filature, et son épouse Monique JACOB, demeurant à AUMONTZEY dans les Vosges, leurs enfants Jacky, Jacqueline, Michel, Jean-Marie et Gilbert, ainsi que les conjoints de ceux-ci et certains de leurs parents et alliés furent harcelés de centaines d'appels téléphoniques anonymes malveillants, parfois muets ou moqueurs, souvent insultants ou menaçants, qui tendaient, semble-t-il, à déstabiliser cette famille, à la diviser, à pousser son chef à se détruire en lui rappelant que son père s'était suicidé et en annonçant des accidents imaginaires.